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L E S B R E V E S D O V A L I E . C O M - l'Hebdo du Rugby par Antonio -
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  • Revivez ici les grands moments du rugby à XV... avec les fameuses "Brèves d'Ovalie" d'Antonio ! Retrouvez tous les résultats du TOP 14 à la CHAMPIONS CUP, en passant par le Tournoi des VI Nations et la Coupe du monde, bien sûr !
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30 septembre 2024

Les brèves d'Ovalie - Edition n°587

LUCIDITÉS D'ENTRAÎNEURS /

 

W.XV... 1ère journée                                        Canada – France     46 – 24

Les Bleues largement défaites à Vancouver

Résilience et travail… beaucoup de travail !

 

 

Le match :

 

Nos Bleues n’ont trouvé l’appétit dans cette première confrontation du Women XV qu’en réaction à l’envie des Canadiennes, chez elles et donc plus affamées. Mélissande Llorens a répondu à Paige Farries, Marine Ménager à Fancy Bermudez qui y est allée de son doublé après un quatrième essai de Laetitia Royer qui n’a trouvé alors aucune réponse des Tricolores, en première période (24-14). La réaction des Bleues viendra, au retour des vestiaires, par Pauline Bourdon-Sansus, puis Nassira Kondé, décrochant, à leur tour le bonus offensif (36-24) quand les locales enfonceront le clou, avec quatre nouveaux essais (Royer, pour son doublé, Tutosi et Hogan).

 

Décidément, les Canucks sont la bête noire du rugby tricolore féminin, à 7 comme à XV !

 

Gaëlle Mignot, co-sélectionneuse des Bleues :

 

« Concrètement, on n'a pas répondu présent sur le combat. On s'est fait prendre dans l'axe et les Canadiennes nous ont mis en permanence sous pression. Donc là, à l'instant T, sortir des motifs de satisfaction, c'est compliqué. Il faut qu'on continue d'avancer fort et ce sont ces matches-là qui nous permettront de grandir. Ce soir, on a pris une petite gifle, mais on va se remettre debout et repartir très rapidement au travail, analyser ce qui ne va pas et repartir de l'avant. On ne cache pas qu'on a un objectif final qui est en septembre 2025 (la Coupe du monde en Angleterre). Maintenant, il faut être conscient qu'il va falloir vite accélérer sur toutes les choses. Je crois que les joueuses, tout le monde en a pris réellement conscience aujourd'hui. On est une équipe résiliente et ce qui est sûr…

 

c'est qu'on ne lâchera rien jusqu'à la fin. »

 

David Ortiz, co-sélectionneur des Bleues, d’ajouter :

 

« Je crois que l'exigence, il faut qu'on se l'impose au quotidien.

 

On a manqué beaucoup trop de précision dans beaucoup trop de secteurs, notamment sur la défense. On a été pris dans l'axe. Aujourd'hui, ce qui va être important, c'est la remise en question collective qu'on va devoir avoir pour pouvoir vite gommer ces erreurs. On a des phases dans le match où on arrive à mieux maîtriser certaines choses. Il faut qu'on arrive à garder beaucoup plus de continuité sur 80 minutes, notamment sur les fins de mi-temps, pour pouvoir rivaliser face à des équipes comme celle du Canada. » 

 

 

Le reste de la 1ère journée du W.XV féminin…

 

États-Unis – Angleterre   21 – 61                                   Les Red Roses en patronnes

Nouvelle-Zélande – Irlande  27 – 29                             Les Blacks Ferns piégées

 

Class. : Angleterre (5)Canada (5) – Irlande (5) Nouvelle-Zélande (1)France (1) – États-Unis (0)

 

 

La 4è journée de TOP 14, en bref…

 

Perpignan (11)  Clermont (7)      33-3                            Une victoire bonifiée mais amère

 

Le match :

 

Plus déterminés et agressifs, les Catalans ont mangé d’entrée des jaunards fébriles et maladroits, privés rapidement de Moala, quand Tuilagi se blessait gravement côté Perpignan. Deux essais signés Aucagne et Naqalevu pour mener 18-3, à la pause. La seconde période a vu l’indiscipline clermontoise punie par la botte d’Aucagne avant que Joseph ne plie la rencontre avec l’essai du bonus offensif.

 

Christophe Urios pour les Clermontois :

 

« Une mi-temps m’inquiète-t-elle plus qu’une autre ? Non, les deux m’inquiètent, même si la seconde était un peu mieux dans l’engagement physique. Mais aujourd’hui, on a pris une branlée. J’avais parlé de révélateur mais je n’ai eu aucune révélation. On a été battu partout, dans la dimension physique, j’avais l’impression que là où il y avait un Clermontois il y avait trois Catalans. De là, les difficultés en conquête, dans le jeu au sol. Après, on s’est éparpillé et on n’a jamais pu s’extirper de la pression de l’USAP, même si on s’y était préparé. Il aurait fallu marquer rapidement en deuxième période pour espérer revenir dans le match. Mais il y avait tellement d’écart sur la volonté de Perpignan de nous passer dessus et la nôtre… Aujourd’hui, je suis déçu parce que je ne l’ai pas vu arriver. »

 

Franck Azéma pour les Catalans :

 

« C’est une victoire amère, avec la grosse blessure de Posolo Tuilagi…

 

Il y a aussi Van Tonder, McIntyre. »

 

Bayonne (9)  Montpellier (10)      28-27                         Des regrets pour le MHR

 

Le match :

 

Un premier acte à l’avantage de Bayonne, avec ses deux essais, en début et fin de période, par Rouet et Maqala, pour mener 15-0. Un second acte en révolte des Montpelliérains qui ont égalisé, après trois essais conclus par Nouchi, Bernardet et Hounkpatin, avant de reprendre le score, à l’heure de jeu, par la botte de Miotti (21-27). Et puis Maqala y est allé de son doublé, à deux minutes du terme pour la victoire sur le fil des locaux.

 

Grégory Patat pour les Basques :

 

« On fait une très bonne première période avec beaucoup d’intentions de jeu, on mettait cette équipe sous pression. On était un peu fébrile dans les zones 40-40, on a donné des pénalités un peu gratuites. On se gâche tout en cinq minutes avec ce retour au jeu de cette deuxième période. Nous, j’ai l’impression qu’il faut qu’on ait peur tout le temps. L’idée était de le maintenir loin de la ligne médiane, mais on a surjoué, fait des fautes, on prend des essais faciles. Nous, il nous faut quarante minutes pour construire notre rugby et marquer quinze points. Et eux, en cinq minutes… Il fallait davantage les isoler dans les coins. On ne peut pas accepter ce style de scénario. »

 

Joan Caudullo pour les Cistes :

 

« C’est compliqué de gagner un match en première période. Mais à la fin, on a la sensation qu’on doit le gagner si on le gère bien. Quand on compare Lyon et Toulouse, où on est mené, ce qu’a fait Bayonne cet après-midi, on n’a pas réussi à le faire. On perd trois points. Tu ne peux parler de rien. Tu n’as pas un ballon, tu n’es pas bon en touche, en mêlée. La mêlée est ton point fort depuis le début de saison. C’est de la technique et de l’état d’esprit. Pour qu’on recule comme ça, ça voulait dire qu’on n’y était pas. Il fallait leur expliquer que ce n’était pas possible de rentrer avec un état d’esprit comme ça. Si on a un état d’esprit sur les deux mi-temps, ce n’est pas le même match. Quand t’es prévenu, ça fait chier. On aura des regrets.

 

Ce match, on va le traîner comme un boulet. »

 

Lyon (5)  Castres (6)      40-38                                        Le Lou s’est fait peur

 

Le match :

 

Jamais distancés, les Tarnais ont toujours recollé au cul des Lyonnais, sans parvenir à les surprendre finalement. 17-16 en première période, avec un essai de Guérois-Galisson pour répondre à ceux de Ioane et Berdeu. 23-22, dans le second acte, avec trois essais de Seguret (doublé) et Tukino pour faire jeu égal après ceux de Couilloud et Botha, sans que cela suffise pour faire la différence, le pied de Berdeu ayant été meilleur que celui de Le Brun.

 

Jérémy Davidson pour les Castrais :

 

« Nous sommes frustrés de ne pas reprendre le score en fin de match, frustrés de plusieurs fautes de main dont Lyon a profité. L’état d’esprit et le courage de l’équipe sont des points positifs. Nous sommes restés disciplinés, malgré deux cartons jaunes. Nous avons commis plusieurs petites fautes qu’une grande équipe ne fait pas. »

 

Julien Puricelli  (entraîneur de la touche) pour les Lyonnais :

 

« Peut-être que les joueurs se sont dit que ce serait facile. Nous laissons trois essais sur des sorties de camp non maîtrisées. Des séquences sont magnifiques, mais elles précèdent un trou d’air derrière. »

 

Racing 92 (12)  La Rochelle (4)      16-17                       Frustration & frustration

 

Le match :

 

Avec Le Garrec sur le terrain, le Racing a mené 16-9, après avoir inscrit tous les points de son équipe. Sur les dix minutes restantes, cette dernière a perdu le match après avoir encaissé le seul essai rochelais (Wardi) et, surtout, la pénalité de la gagne d’Iribaren.

 

Ronan O’Gara pour les Rochelais :

 

« C'était un vrai match de Top 14 à l'extérieur. Le contenu ? Il reste beaucoup, beaucoup de travail à faire. On est six niveaux en dessous de Toulouse. On fait beaucoup de petites fautes, j'ai besoin de créer un environnement pour qu'on ne joue pas sans arrêt "large-large". On ne fait pas du beach rugby. "Jouer-jouer", ça ne marche pas. On aurait pu jouer plus direct dans les soixante premières minutes. Je suis réaliste, pas négatif. Mais gagner à l'extérieur en Top 14, c'est hyper difficile et la saison dernière, on perdait ce genre de match. La pénalité de la victoire de Teddy Iribaren ? C'est un joueur frustré parce qu'il ne joue pas assez à son goût et un coach frustré par le niveau d'un joueur qu'il a fait venir. Le plus grand gagnant aujourd'hui, c'est Teddy Iribaren. »

 

Stuart Lancaster pour les Racingmen :

 

« C’est très frustrant.

 

La Rochelle est une grande équipe et nous, on avait des jeunes comme Couly ou Kpoku qui ont eu beaucoup de temps de jeu. On a manqué d’expérience sur la fin mais on s’était mis en position pour gagner en menant 16-9. Ce qui nous coûte le plus cher, ce n’est pas l’inexpérience, c’est la discipline. Dix-huit pénalités, c’est beaucoup trop. Bon, je ne suis pas d’accord sur toutes. Mais il faut changer cela. C’est frustrant parce qu’après la défaite à Bordeaux (52-34), on avait bien travaillé la semaine. Je suis déçu mais j’ai confiance en mon staff, en mes joueurs et en moi-même. »

 

Toulon (3)  Vannes (14)      54-19                                    Coaching gagnant

 

Le match :

 

14 partout à la pause, après deux essais de part et d’autre (Baubigny et Alainu’uese pour les Varois, Moukoro et Camou pour les Bretons). Et puis la machine de l’orgueil toulonnais s’est enclenchée, après l’essai de Saili qui plaçait les promus devant et l’entrée de Serin, décisif. Domon, Serin, Fainga’anuku, Tuicuvu, Lucchesi et Priso roulaient sur l’en-but de Vannes, jusqu’à faire péter le bonus offensif, et plus.

 

Pierre Mignoni pour les Toulonnais :

 

« Je suis assez content des vingt premières minutes car on mène 14 à 0 alors que l’on joue contre le vent. Ben White gère très bien les temps faibles chez nous. On arrive à aller chez eux et on marque à chaque fois. Ensuite on est tombé dans le côté un peu mental facile où on ne plaque plus, on subit sur les premiers plaquages, et on veut contester les ballons alors qu’on sait que l’arbitre est très dur sur les assistants plaqueurs. On fait 6 pénalités en première mi-temps je crois. Et du coup, tu perds l’initiative car tu te mets sous pression car tu es contre le vent. Et ensuite on défend mal, on se fait aspirer comme des cadets et on se retrouve à 14 partout à la mi-temps. Et là, il fallait redynamiser la seconde mi-temps. Elle n’a pas été parfaite mais elle a été bien mieux. Après le carton rouge c’était bien aussi avec un peu un réveil, de l’excitation, un peu de folie. Et à la sortie on gagne avec le bonus donc….

 

Bravo aux mecs qui sont rentrés en jeu. »

 

Jean-Noël Spitzer pour les Bretons en est resté bouche bée.

 

Pau (8)  Stade Français (13)      30-16                           Un niveau moyen, somme toute

 

Le match :

 

Menés 3-10, à la pause après un essai de Dakuwaqa, les Palois ont étouffé les Parisiens, un peu avant l’heure de jeu avec trois essais en douze minutes, par Gailleton, Gorgadze et Attissogbe, avant de les couler, à la dernière minute, avec un quatrième essai de Simmonds, synonyme de bonus offensif.

 

Sébastien Piqueronies pour les Palois :

 

« À la mi-temps, le discours a été musclé mais ça a été aussi un gros discours de confiance. On voulait être constants. On avait échappé tous les ballons. On avait des possessions mais on ne maîtrisait pas les ballons. Il fallait un peu plus de précision. Le bonus était totalement inespéré et inenvisageable à la mi-temps. On ne pensait qu'à la victoire. Quand on a la rage de pouvoir gagner, parfois on fait plus, on fait mieux. Gardons cette rage de vouloir gagner. Cette équipe a fait preuve de résilience, elle a gardé confiance en elle et y a cru très fort. On est fiers d'avoir remporté une victoire bonifiée à domicile mais le Top 14 réclame de la constance et de la consistance. Si on veut élever notre niveau et faire mieux, on doit être stables en conquête et plus imperméables en défense. »

 

Laurent Labit pour les Parisiens :

 

« Ce match est à l'image du niveau de notre équipe depuis le début de saison. Il ne faut pas se mentir. On est sous pression dans notre jeu, on enchaîne les mauvaises performances et les blessures. La seule satisfaction de cette soirée, c'est que nous n'aurons normalement pas de nouveaux blessés. Mais la deuxième mi-temps n'est pas conforme à ce qu'on s'était dit avant le match et à la mi-temps. On savait très bien que Pau allait revenir avec des intentions après être mené 13-3. On l'avait identifié. On devait être très bon dans le jeu au pied de territoire mais aussi être très bon avec le ballon comme en première mi-temps. Malheureusement, on a eu un jeu au pied très, très faible en deuxième mi-temps et on n'a pas eu le ballon. On est conscient de la situation comme je l'ai dit aux joueurs à la fin du match. Depuis le début de saison, on est en capacité de faire de très bonnes choses mais aussi d'avoir de grosses lacunes.

 

On est une équipe moyenne aujourd'hui, joueurs et staff compris. »

 

Toulouse (2)  Bordeaux (1)      12-16                             L’UBB tient sa revanche

 

Le match :

 

Les champions de France ont dégainé les premiers, par Kinghorn, les finalistes ont répondu par leurs armes fatales, BB et Lucu pour prendre le match en main, à la pause (7-13). Le second acte a été une course-poursuite intense et de haut niveau que les locaux n’ont pas réussi à bonifier, sur l’essai de Mauvaka, Garcia ayant eu le dernier mot au pied pour une victoire au goût de revanche après l’humiliation en finale.

 

Ugo Mola pour les Toulousains :

 

« Ce n’est pas si surprenant sur le match. Nous sommes tombés sur équipe de Bordeaux qui a joué le coup à fond. On a manqué cruellement de réalisme et de capacité à marquer. Quand on inscrit douze points à domicile, on ne peut pas trop prétendre à gagner un match. »

 

Yannick Bru pour les Girondins :

 

« Toulouse veut toujours imposer sa puissance et sa vitesse de jeu, c’est important de pouvoir rivaliser dans ces secteurs. On avait fait le choix d’essayer de finir le match avec beaucoup de puissance, car c’est dans le money time que Toulouse décide de broyer ses adversaires comme on a pu le subir dans le passé. Je pense qu’on a vraiment appris de ces expériences, tous les joueurs ont pu réussir ce passage de témoin sur le terrain. En conquête, nous avons eu quelques atermoiements dès le début du match. Mais nous avons réussi à exploiter des initiatives offensives et à faire bouger la défense de Toulouse. Dommage que "Loulou" (Louis Bielle-Biarrey) ne décide pas de partir à l’essai tout seul en seconde période, ce qui aurait pu nous donner du confort pour la fin de rencontre. Mais il ne faut pas manquer d’humilité. Globalement, nous avons beaucoup souffert sur la deuxième mi-temps, en courant après les Toulousains. Mais c’est notre courage, notre solidarité et nos efforts au sol qui ont permis de colmater les brèches.

 

On ne s’emballe pas non plus, on aurait pu perdre aussi. »

 

(entre parenthèses, le rang du nouveau classement après ce week-end)

Tous les résultats officiels du week-end >> 

 

 

La 6ème journée du IV Nations…

 

Nouvelle-Zélande – Australie    33 – 13

Afrique du Sud – Argentine      48 – 7

 

Sans surprises !

 

Les Boks sont sacrés champions pour la seconde fois depuis la création de la compétition à quatre nations en 2012. La dernière fois, c’était en 2019, dans une version tronquée à trois matches, à cause de la Coupe du monde au Japon. Les All-Blacks arrachent la seconde place aux Pumas, largement défaits à Mbombela.

 

Class. : Afrique du Sud (24)Nouvelle-Zélande (15) Argentine (14)Australie (5)

 

 

 

La semaine prochaine…

 

TOP 14 et Women XV…

 

 

Au programme* de la 5ème journée de TOP 14 :

Samedi 5 octobre

 à 14h30 :   Vannes – Racing 92

à 16h30 :  Bordeaux – Bayonne

La Rochelle – Lyon

Stade Français – Montpellier

Perpignan – Pau

   à 21h05 :     Castres – Toulouse

 

Dimanche 6 octobre

à 21h05 :     Clermont – Toulon

 

 (*) Tous les matches sont retransmis par les chaînes de Canal+

 

 

Au programme de la 2ème journée du W.XV, à Vancouver :

Samedi 5 octobre

à 21h30 :  États-Unis – France

 

Dimanche 6 octobre

à 0h45 :   Canada – Irlande

à 22h :  Nouvelle-Zélande – Angleterre

 

 

Du côté de l’Élite 1 féminine :

 

Retrouvez tous les résultats* et le programme sur >> site FFR : competitions-elite-1-feminine

 

(*) Faute de suivi médiatique en direct, je ne commente plus les résultats

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