Les brèves d'Ovalie - Edition n°464
Les ailes du désir
VI NATIONS... 1ère journée France – Italie 37 – 10
Villière et Penaud, précieux anges gardiens
Je vous résume le film de ce premier rendez-vous des Bleus au Stade de France, dimanche après-midi, façon Wim Wenders.
Deux anges, Gabin et Damian, errent une longue période, scrutant les voies intérieures pour capter le moindre ballon que des âmes perdues peinent à leur apporter sur leurs ailes.
Que ce soit les mauvais choix de la charnière, fantomatique, aux automatismes grippés (au Covid ?), ou les relances stériles de l’arrière, Jaminet, souvent trop isolé et aussi maladroit que malheureux sur l’essai italien, rien ne sourit à ce XV de France, assailli de toute part, en quête de vestiges d’une récente gloire.
Le décor de ces vingt premières minutes d’errance est planté.
À l’essai de Menoncello sur un coup de pied millimétré de Garbisi, répond alors le troisième-ligne "aile" tricolore, Jelonch, qui surgit, tel un ange blanc invisible (oui les Bleus jouent en blanc), de derrière une touche, et intercepte une offrande du demi de mêlée Varney, qui ne pouvait le voir, pour s’envoler tout droit jusque dans l’en-but (8-7). Miraculeux !
Mais les âmes en peine continuent de cafouiller et de pécher contre les règles du jeu au sol, offrant une nouvelle munition à Garbisi pour reprendre le score avant que Jaminet ne l’annule, quelques minutes plus tard, recomptant un petit point d’avance (11-10).
C’est là que nos deux anges, Gabin et Damian, entrent en scène.
D’abord Villière, dans les arrêts de jeu du premier acte. Sur une troisième pénalité jouée à la main, au lieu de prendre les points au pied, Jaminet écarte enfin le ballon jusqu’à l’aile du gamin toulonnais qui conclue l’action par un vol rasant jusque dans l’en-but. Prodigieux !
Au retour des vestiaires, avec huit longueurs d’avance, la rencontre prend enfin son envol, même si Danty ne parvient pas à conclure un joli mouvement retrouvé de la charnière, inspirée par le souffle de nos anges, très remuants.
C’est encore Gabin qui finit le travail, après avoir été servi par Alldritt, feintant la passe et enfumant deux défenseurs, sur un cadrage-débordement venant de nulle part, dans un courant d’air… divin !
Puis l’errance, à nouveau, les doutes dans les têtes. Damian décide alors de les remettre à l’endroit, les pieds sur terre. Dans une relance fulgurante, initiée par Moefana, l’ailier clermontois se joue de la défense transalpine, en un fabuleux une-deux avec Dupont pour s’envoler, à son tour, dans l’en-but grand ouvert. Mortel !
Enfin, Gabin parachève son œuvre, avec un triplé sur son aile, après une action d’envergure de ses âmes revigorées, par un jeu au large retrouvé, pour un dernier envol glorieux. Alléluia !
Gabin et Damian, qu’ils sont bénis des dieux, ces deux anges-là !
De quoi susciter le désir de les revoir, encore et encore, et surtout face aux redoutables adversaires qui les attendent, samedi prochain, sans aucun doute les favoris de ce tournoi, pour une finale avant l’heure, au Stade de France.
Pas les Diables rouges, non, mais ces démons verts qui se sentent aussi pousser des ailes après avoir terrassé samedi les tenants du titre, comme les invincibles Tout noir en novembre. Oui, eux aussi !
Les autres matches en bref…
Écosse – Angleterre 20 – 17
Sur des chardons ardents
Si les Anglais avaient la plus grosse, je parle de l’occupation du terrain, les Écossais, eux, avaient la plus efficace. Et les tribunes de Murrayfield ne s’y sont pas trompées, samedi.
Après un hymne national des plus tripants que je connaisse, au son des cornemuses gonflées à bloc (dont le silence soudain, laissant place à l’orgasme a capella du stade, fait hérisser les poils), voilà que la première incursion du XV du Chardon dans les 22 ennemis (parce qu’ici, le XV de la Rose est l’ennemi) fait frémir puis soudain exulter la foule en liesse.
Le jeune Ben White, qui venait tout juste de remplacer Price à la mêlée, se trouvait au bon endroit, au bon moment, après un numéro magique de l’ailier Graham qui effaçait toute la défense adverse dans un mouvement d’école, après une course pénétrante et un tchik-tchak fulgurant, pour livrer le ballon parfait au jeune entrant qui n’avait plus qu’à aller à dame. Jouissif !
Contrariant les plans des favoris de la rencontre, les Calédoniens ont déjoué les pronostics dans ce premier acte, rentrant aux vestiaires avec quatre points d’avance (10-6), avant de ronger leur frein, en seconde période, après l’essai du nouvel enfant prodige du XV de la Rose, le remplaçant de Farrell (blessé) à l’ouverture, Marcus Smith, auteur de tous les points anglais.
Menés alors 10-14, puis 10-17, à l’heure de jeu, le XV du Chardon ne s’est pas laissé abattre, pendant les temps forts de l’ennemi. Russel allait même sortir le grand jeu, distribuant comme jamais des caviars au pied, quand celui destiné à son ailier funambule, Graham, (juste après celui à Van Der Merwe, sur l’autre aile et sur la même action), trouvait sur son chemin le talonneur Cowan-Dickie qui allait commettre l’erreur fatale : volleyer volontairement le ballon en touche.
L’essai de pénalité était inéluctable, offrant l’égalisation inespérée par tout une foule en transe, dès lors intenable, qui entonnait hymne sur hymne, poussant son équipe tambour battant. Encore, encore !
Qu’à cela ne tienne, les locaux insistèrent, là où ça fait du bien, dans les 22 du XV de sa Majesté lady Chatterley dont la défense succombait sous les charges des avances écossaises, cédant à la faute, son péché originel, qui offrait le dernier mot, à Russel. Quel pied ! Et l’Écosse menait à nouveau les ébats.
Les cinq dernières minutes devinrent insoutenables, les Anglais de nouveau plantés dans le camp des joueurs de cornemuse, gâchant penaltouche et mêlées, maintes fois refaites à leur avantage par l’arbitre sud-africain bien complaisant, obligeant les locaux à serrer les fesses et tenir bon en mêlée et à aller chercher ce ballon dans la main de l’ennemi pour l’envoyer en tribunes, telle une éjaculation libératrice qui déclenchait un nouvel orgasme dans les tribunes de Murrayfield.
Oui, c’était chaud et jouissif de voir ces incroyables Écossais la mettre bien profond à ce XV de la Rose qui n’aura plus à rêver de Grand Chelem dorénavant. Oui, je sais… « Shocking good game ! »
Irlande – Pays de Galles 29 – 7
Sans partage
Je vais vous la faire plus courte et plus soft pour cette première rencontre qui a précédé la précédente (vous me comprenez), samedi après-midi, à l’Aviva Stadium de Dublin.
Les Irlandais ont impressionné, vraiment, par leur maîtrise, de bout en bout, dans un match de haut niveau où les tenants du titre gallois n’ont jamais démérité, mais n’ont eu qu’une seule occasion tardive de surprendre ce XV du Trèfle, réglé comme du papier à musique, celui-là même qui a « aussi » battu les All Blacks, l’automne dernier.
Quatre essais, ni plus ni moins, pour le bonus offensif, orchestrés par une charnière Sexton-Murray métronomique, et signés Aki, Conway, deux fois, et Ringrose.
29-0 avant que Basham ne sauve l’honneur (mérité), à cinq minutes de la fin de cette leçon d’un rugby efficace mais jamais très beau à voir.
Ça a fait mal à la tête des Gallois. Les Français sont prévenus. Samedi prochain, ça risque de faire aussi mal s’ils ne montent pas d’un cran leur niveau de jeu et d’agressivité.
Clsst. : 1-France, 5 pts (+27) – 2-Irlande, 5 (+22) – 3-Écosse, 4 (+3) –
4-Angleterre, 1 (-3) – 5-Pays de Galles, 0 (-22) – 6-Italie, 0 (-27)
La 1ère journée du tournoi des Bleuets en bref….
France U20 – Italie 41 – 15
Ils promettent, ces Petits !
Vendredi soir, à Mont-de-Marsan, les Bleuets ont donné le coup d’envoi de cette nouvelle édition du tournoi des VI Nations, en recevant la jeune Squadra Azzurra.
C’est un nouveau groupe prometteur, toujours derrière le capitaine clermontois Tixeront, qui a disposé du XV italien des moins de 20 ans, avec brio, après des premières minutes fébriles et quelques passages à vide.
Mais retenez leurs noms !
Lui, c’est Baptiste Jauneau, le Jaunard à la mêlée, un croisement entre Parra et Penaud qui nous a régalé de sa fougue et son culot, dès le premier quart d’heure, avec un petit par-dessus au pied pour lui-même suivi d’une chistéra pour son capitaine et pote de club, Tixeront. Si le flanker asémiste a manqué le ballon, derrière, l’ailier Enzo Reybier d’Oyonnax a bien suivi pour le ramasser et planter le premier essai devant une défense transalpine médusée.
Eux, ce sont les pillards, Matis Perchaud de Bayonne, et Robin Bellemand de Colomiers, qui jouent comme des trois-quarts et ont bluffé les tribunes du stade Boniface par leur activité offensive. Comme cette échappée improbable de Robin, quelques minutes plus tard, qui est sorti des bois pour semer les défenseurs avant de servir, à l’extérieur, son troisième ligne centre toulousain, Théo Ntamack (oui oui le frère de Romain), qui a fait de même, comme un trois-quarts centre, pour offrir le deuxième essai à Émile Dayral, l’ouvreur agenais n’ayant plus qu’à aplatir dans l’en-but, comme un avant (17-0).
Lui, c’est Axel Bévia, la fusée montpelliéraine de l’aile droite que personne ne peut stopper une fois qu’elle est lancée. Et quel lancement ! des vrais trois-quarts, cette fois, après avoir récupérer un ballon adverse en touche, à la demi-heure de jeu. Un mouvement au large qui a envoyé la balle dans les mains de rocket-man que personne n’a revu avant qu’il ait franchi la ligne (22-0).
Lui, c’est Max Auriac, un autre Maxou de Haute-Garonne, le croisement parfait entre le flair de Médard et le pied de Ramos. L’arrière a réussi un 8 sur 9 et même inscrit l’essai du bonus offensif en fin de match, soit 26 points, bienvenus après un long flottement en seconde période qui a remis les Italiens dans la partie, avec deux essais pleins d’orgueil. Heureusement la botte du Toulousain a toujours gardé la Squadra à bonne distance avant la consécration finale, avec cette large victoire bonifiée.
Tout n’a pas été parfait, loin de là. Loin surtout des performances du groupe double champion du monde de la génération précédente. Mais il y a quelque chose qui a pris entre eux, un je ne sais quoi, une petite braise de french flair qui ne demande qu’à s’enflammer.
Il s’agira de confirmer contre les Irlandais, dès vendredi prochain, avant de terminer face aux redoutables tenants du titre, les Baby Roses.
Pour rappel, le Tournoi féminin a été décalé, de manière pérenne, juste après celui des gars, fin mars.
La 17ème journée de TOP 14 en bref…
Perpignan (11) – Toulouse (5) 36 – 13
La claque de trop
Quatrième défaite consécutive pour les champions de France, ça commence à faire, même si elle s’explique facilement avec l’absence de leurs dix internationaux réquisitionnés par le XV de France.
Seulement, les Toulousains ne nous avaient pas habitués à cela, tant les équipes bis avaient toujours fait le job, par le passé, avec la même manière et surtout des victoires.
Cela s’explique aussi, bien sûr, par l’engagement des Catalans et leur envie de marquer les esprits, comme de satisfaire leur public d’Aimé-Giral, pour se donner encore plus d’air après leur victoire contre la lanterne rouge basque et le bon point de bonus défensif décroché contre Lyon, la semaine dernière.
C’est chose faite, et bien faite, après cette énorme victoire bonifiée contre le champion de France, en mal de son jeu, depuis deux mois et la blessure de Dupont.
Avec Nanai-Williams et Germain à la baguette, le jeu Toulousain n’a qu’une seule fois trouvé les espaces pour envoyer ses trois-quarts à dame, par Delibes sur une relance de Médard, au bout d’une demi-heure, avant de voir le talonneur Cramont inscrire le deuxième essai, au retour des vestiaires, et remettre son équipe dans la partie (19-13 à la 46è).
Mais le mal était plus profond, les locaux en ont profité dès les vingt premières minutes, inscrivant trois essais par Taumoepeau, Dubois et Lotrian, avant de remettre le turbo dans les ving dernières avec deux nouvelles banderilles plantées par Kubriashvili et De la Fuente pour décrocher le bonus offensif.
Avec trop de fautes (2 cartons jaunes) et un pied défaillant de Nanai-Williams, l’équipe bis toulousaine a sombré sans rien montré de son rugby qui semble être resté à Cardiff, depuis le 12 décembre.
Montpellier (2) – Pau (9) 29 – 12
Reinach sinon rien !
Mais que ça a été dur pour les hommes de Saint-André de venir à bout de ses Palois.
Après une première période laborieuse (7-6) avec un seul essai, signé Reinach (faut vraiment qu’il fasse tout ans cette équipe), les Cistes se sont repris en deuxième, en marquant trois fois, le demi de mêlée sud-africain y allant de son doublé pour redonner l’exemple (faut-il que je trisse ? oui), puis de son triplé, avant que Paenga-amosa ne conclue ce douloureux festival. Merci Jacobus !
Les Palois, en face, eux, ont défendu et se sont contentés de deux pénalités par mi-temps, laissant les Montpelliérains savourer leur huitième succès consécutif, qui plus est bonifié, qui les rapproche un peu plus du leader girondin, à cinq longueurs, avec le même nombre de matches joués.
Lyon (3) – Stade français (10) 26 – 22
Merci Berdeu !
Déprimés à l’idée du départ de leur coach et père sportif, Pierre Mignoni, les lyonnais semblaient pleurer sur leur sort de fin de saison durant les vingt premières minutes de la partie, laissant Segonds enquiller les points de leur indiscipline (0-12).
Il aura fallu le sursaut de Tuisova, auteur du seul essai maison, à la demi-heure, pour voir les locaux entrer enfin dans la partie, avant d’en ressortir juste avant la pause après l’essai de Coville, les Parisiens creusant un peu plus l’écart (11-19).
Si Sapoaga n’a pas été des plus performants au pied, l’entrée de Berdeu, en seconde période, allait vite combler le retard, l’ouvreur rendu par le XV de France rendant la monnaie de sa pièce au buteur parisien avec quatre pénalités qui ont permis de passer enfin devant (23-22).
L’indiscipline allait coûter cher, cette fois, aux visiteurs. Même le sort allait choisir son camp.
78ème, Coville tente une pénalité à 35 mètres à gauche et la manque. Deux minutes plus tard, Berdeu tente exactement la même et ne manque pas sa cible, offrant la victoire à son équipe.
Le Lou s’en sort bien et garde sa place sur le podium, quand Paris doit se contenter, avec bien des regrets, de son point de bonus défensif.
Racing 92 (6) – Brive (12) 57 – 19
Festival des oubliés
Samedi, dans les rangs du Racing, on devait l’avoir mauvaise, pour certains, de devoir regarder l’équipe de France dans son canapé le lendemain.
Vakatawa, Taofifenua, Diallo, Lauret, Chat, Baubigny, Gomes Sa, Kolingar, tous des recalés au stage du groupe international, depuis l’arrivée de Galthié.
La dynamique du jeu offensif francilien ne s’est pas fait attendre, sous l’impulsion d’un Beale inspiré, à l’arrière. Premier essai au bout d’un quart d’heure, signé par le pilier Gomes Sa. S’en est suivi une rafale d’occasions et d’autres essais, conclus par Lauret, Klemenczack (deux fois même), Taofifenua, Imhoff, Chouzenoux et même Vakatawa.
Les Coujoux se sont amusés à contrarier le bonus offensif des locaux, par trois, grâces aux marques de Lees, Narisia et Fa'aso'o. Mais le suspense était ailleurs. Vakatawa marquera-t-il ou pas ?
Chose faite, bonus offensif en poche et le TOP 6 qui n’a jamais été aussi accessible.
Toulon (14) – Castres (4) 10 – 22
À côté de la plaque
Toulon s’est tiré une sacrée balle dans le pied en laissant filer ce premier match à domicile d’une série de trois, à suivre, pour tenter de remonter du gouffre dans lequel il est empêtré, notamment à cause de ses trois matches en retard.
Mais en jouant de la sorte, pas sûr que le RCT revoit un jour le TOP 6.
Rien n’y a fait, ou presque, face à des Castrais toujours aussi pénibles à défendre solidement leur camp. Trop de maladresses, de déchets, sans inspiration, ni automatisme, les Toulonnais ont subi tout du long l’agressivité de leur adversaire, ne profitant que d’un 15 contre 13 pour inscrire leur seul essai de la partie, laborieusement accordé en essai de pénalité.
Kockott avait marqué le premier, au bout de vingt minutes, sur une belle inspiration de Ben-Nicholas pour mener 7-8 à la pause.
En seconde période, Urdapiletta fera le reste, punissant en pénalités et d’un drop opportuniste l’indiscipline des Varois, impuissants dans tous les secteurs du jeu. La charnière Serin-Carbonel, comme la pépite Kolbe, à l’arrière, n’ont jamais influé sur la partie.
Le RCT reste un grand chantier pour Azéma qui n’a pas trouvé comment relancer cette équipe en mal de collectif.
Biarritz (13) – La Rochelle (7) 27 – 24
Sauve qui peut !
Scénario incroyable à Aguilera après un chassé croisé entre les deux équipes, le BO arrache la victoire, cinq minutes après la sirène, et laisse la lanterne rouge au RCT.
Le résumé en images, une fois n'est pas coutume >>
Clermont (8) – Bordeaux (1) Reporté cause cas Covid à Clermont
(entre parenthèses, le rang du nouveau classement après ce week-end)
Tous les résultats officiels du week-end >>
La semaine prochaine…
Le Tournoi nous offre déjà sa finale…
Samedi, les Irlandais se déplacent au Stade de France avec bien plus que de l'ambition, mais les armes pour contrarier le rêve de Grand Chelem de nos Bleus si ces derniers ne rehaussent pas leur niveau de jeu.
À ne pas manquer !
Au programme* de la 2è journée du VI Nations, dès le vendredi 11 février, avec les Bleuets :
France U20 – Irlande, à 21h (sur L’Équipe TV)
Puis le samedi 12 février :
Pays de Galles – Écosse, à 15h15
France – Irlande, à 17h45
Puis dimanche 13 février :
Italie – Angleterre, à 16h
(*) Tous les matches (sauf U20) sont retransmis par les chaînes de France TV
En parallèle, le TOP 14 proposera le rattrapage des 4 matches restants de la 13ème journée.
Au programme* donc, dès le vendredi 11 février :
Toulouse – Stade Français, à 21h (en même temps que les Bleuets !)
Puis samedi 12 février :
Racing 92 – Pau, à 14h15
Brive – Clermont, à 15h
Toulon – Bordeaux, à 21h05
(*) Tous les matches sont retransmis par les chaînes de Canal+
Du côté du TOP 16 féminin
Retrouvez les résultats* et le calendrier sur : >> site FFR : competitions-elite-1-feminine
(*) Faute de suivi médiatique en direct, je ne commente plus les résultats