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L E S B R E V E S D O V A L I E . C O M - l'Hebdo du Rugby par Antonio -
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  • Revivez ici les grands moments du rugby à XV... avec les fameuses "Brèves d'Ovalie" d'Antonio ! Retrouvez tous les résultats du TOP 14 à la CHAMPIONS CUP, en passant par le Tournoi des VI Nations et la Coupe du monde, bien sûr !
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5 février 2023

Les brèves d'Ovalie - Edition n°509

Faute de mieux !

VI NATIONS... 1ère journée                    Italie – France        24 – 29

Quand Jalibert sauve les meubles

Comment se compliquer la belle vie...

18 FAUTES ! ... sifflées contre le XV de France – une toutes les cinq minutes. C’est la stat du jour après l'entrée fracassée – à défaut de fracassante – de nos Coqs dans le tournoi, ce dimanche, à Rome.

Pourtant, les hommes de Galthié l’ont emporté, avec le bonus.

– Va comprendre Charles !

C’est que le jeu de Charles Ollivon a été particulièrement incompréhensible, autant que la plupart des sanctions sifflées par monsieur Carley – mais lui, c’est normal, il est anglais.

Une fois que j’ai dit cela, revenons aux véritables fautes accumulées qui ont empêché nos Bleus de tuer le match en une demi-heure comme l’auraient sans doute fait leur prochains adversaires en coupant – à trèfle – l’herbe sous le pied à ces Italiens plutôt hasardeux dans leur camp (du moins au début) à donner le ballon pour se faire battre.

Des fautes de main, d’entrée, quand Ramos tarde trop à donner son ballon à Penaud, trompé par la fausse passe, alors qu’il y avait la place pour le premier essai. Ou encore, quand Ollivon ne maîtrise pas le ballon alors qu’il s’apprêtait à aplatir dans l’en-but.

Heureusement, la défense de la Squadra Azzurra a été plutôt généreuse offrant le premier essai à Flament sur un contre cadeau, dès la cinquième minute.

Des fautes au sol à répétition qui ont offert, en retour, des points faciles au buteur local, Allan, pour rester dans la partie, et surtout, des munitions dans le camp tricolore qui ont amené le premier essai de Capuozzo, particulièrement remuant.

Pourtant, auparavant, il aura suffi de deux coups de pied millimétré de Ntamack en direction de ses ailiers, pour marquer deux fois. D’abord sur Penaud, au duel avec Capuozzo, le ballon revenant sur Ramos qui n’avait plus qu’à aplatir. Ensuite sur Dumortier, impeccable appel pour son premier essai en Bleu.

6-19, à la demi-heure de jeu, la vie semblait belle !

Et puis, tout s’est soudain compliqué, Capuozzo surgissait sur l’aile après un renversement de Varney, Allan ajoutait trois points et nos Coqs faisaient moins les malins en rentrant aux vestiaires, avec seulement cinq longueurs d’avance (14-19).

Mais pourquoi autant de maladresses et de fautes et si peu de maîtrise ?

Même Dupont était méconnaissable, pourtant élu homme du match – va comprendre Charles !

Justement, Charles Ollivon, encore lui, dans le plus mauvais match de sa vie, sans doute, allait faire parler de lui, dans le second acte, et nous compliquer encore plus la belle vie.

Comment peut-on commettre d’aussi grossières fautes à ce niveau ?

Douze minutes et un ballon porté italien plus loin, le flanker toulonnais écroulait le maul, sous les yeux de monsieur Carley qui n’hésita pas à le sanctionner doublement, d’un carton jaune et d’un essai de pénalité.

Le match n’était tout à coup plus le même !

D’autant qu’Allan ne manqua pas la pénalité pour faire passer la Squadra Azzurra devant, pour la première fois, à l’heure de jeu (24-22).

Il aura fallu l’entrée déterminante, encore une fois, de Jalibert pour bonifier son premier ballon et marquer dans l’intervalle, derrière une penaltouche. Tout le banc français sera précieux, comme ce ballon gratté par Macalou pour lequel l’arbitre se sentira obliger de lui accorder la pénalité, tant monsieur Carley a été particulièrement sévère avec nos Coqs, pourtant déjà les pieds dans la merde, incapables d’assurer leurs conquêtes.

18 fautes sifflées contre le XV de France, je vous disais. C’est bien trop pour gagner un match, vous dira un coach à l’ASM.

Et pourtant, celle-là est bonifiée. Va comprendre, Charles !

Les coéquipiers de Charles Ollivon ont une semaine pour comprendre ce qui a pêché à Rome afin de le corriger à Dublin. Parce que les Irlandais ont déjà tout compris, eux.

 

Les autres matches en bref…

Pays de Galles – Irlande       10 – 34

Allez ! Qui c’est les plus fort ?

« Évidemment c’est les Verts… Même loin de leur public et sans tous leurs supporters, ils savent gagner, sans trop forcer, Allez ! Allez ! Qui c’est les plus forts ? Évidemment c’est les Verts… L’équipe joue au rugby tel un rouleau-compresseur, ballon en main, toujours plus loin, Allez ! »

Oups ! je me suis laissé un peu trop aller !

Deux minutes, c’est le temps qu’il aura fallu au XV du Trèfle pour enfoncer la ligne galloise dans un Millennium plein comme œuf dont le toit fermé couvait une chaude ambiance, aux chants gallo-irlandais entremêlés.

Derrière un ballon porté, Doris concluait les premières charges celtes, un classique. Cinq minutes plus tard, c’était au tour de Ryan de transpercer la défense locale. Vingtième minute et Lowe interceptait une passe téléphonée de Biggar pour un essai de 80 mètres, dans un sprint qui laissait tous les Gallois sur place.

Serein, le XV du Trèfle, gérait une partie à sa main et au pied de Sexton qui assurait les pénalités entre les essais, histoire de se rapprocher sûrement d’un record de points qui ne pourra lui échapper, détenu par son compatriote O’Gara.

Malgré quelques rares fulgurances, à se battre comme des diables, notamment en fin de premier acte, les coéquipiers de Biggar rentraient la queue basse aux vestiaires (3-27).

La seconde période a démarré dans la continuité des efforts gallois, avec une entame tonitruante, aboutissant à l’essai de Liam Williams, très en vue, suivie d’un gros quart d’heure de domination stérile et maladroite que les Irlandais n’ont pas eu de mal à annihiler, prenant leur mal en patience, avant de tuer le diable rouge par un dernier essai, celui du bonus offensif qu’ils étaient venus chercher, profitant d’une supériorité numérique pour lancer une attaque aussi rondement menée que fatale, conclue par Van der Flier.

Ils sont vraiment trop forts, ces Irlandais. De là, à être les plus forts, évidemment, on serait verts de l’admettre, la semaine prochaine, à Dublin, contre nos Bleus.

Angleterre – Écosse               23 – 29

Twickenham sur des chardons ardents

Ils sont fous, ces Écossais. Borthwick a dû s’arracher ses derniers cheveux sur le caillou après ce premier revers dans l’antre du XV de la Rose. Car le XV du Chardon a mis d’entrée le feu dans la défense anglaise, inscrivant le premier essai par son centre Jones, après une chevauchée fantastique.

Si le XV de la Rose, piqué au vif, a répondu en faisant de Malins le premier marqueur maison, après une superbe transversale de Smith, intenable tout le long de la partie, Van der Merwe a monté les enchères et remonté tout le terrain pour planter le deuxième essai calédonien, en slalomant toute la défense anglaise. Qu’à cela ne tienne, Malins y est allé de son doublé, neuf minutes plus tard, Farrell rajoutant, derrière, une pénalité, après avoir manqué les deux transformations, suffisant pour passer devant, d’une petite longueur, à la pause (13-12).

Une première mi-temps exceptionnelle, lancée sur des chapeaux de roue, un régal !

Dès le retour des vestiaires, les locaux ont creusé l’écart par Genje, derrière une penaltouche que le talonneur a lancée et conclue lui-même. Mais le demi-de-mêlée écossais, White, a aussitôt répondu en se faufilant, ni vu ni connu, dans l’en-but, remettant ses coéquipiers en selle (20-19).

Le suspense était à son comble au moment du coaching qui a d’abord donné raison au néo-sélectionneur de sa Majesté, Borthwick, après un temps fort et trois nouveaux points passés par Farrell (23-19). Mais le panache, le culot et l’efficacité restaient du côté écossais, Russel ramenant le XV du Chardon au pied de la Rose après avoir passé une pénalité, avant de voir le « Rougerie » écossais, inscrire son doublé. Je parle bien sûr du feu-follet flamboyant Van der Merwe, incontestable homme du match, dans un dernier numéro.

Quelle performance de ces Écossais qui démarrent parfaitement le tournoi avec un bonus offensif et surtout la Calcutta Cup qu’ils ramènent à la maison pour la troisième fois consécutive. Historique ! 

Clsst. : 1-Irlande, 5 pts (+24) – 2- Écosse, 5 (+6) – 3-France, 5 (+5) –
          4-Italie, 1 (-5) – 5-Angleterre, 1 (-6) – 6-Pays de Galles, 0 (-24)

 

La 1ère journée du tournoi des Bleuets en bref….

Italie (4) – France U20 (3)        27 – 28

D’un cheveu

À Trévise, ce vendredi soir, comme leurs aînés, les Bleuets se sont fait peur tout le long de la rencontre, ratant les entames de chaque période pour les finir avec plus de chance que de mérite, quand les Italiens ont manqué d’un cheveu la victoire, après la sirène, pour une transformation ratée du remplaçant Bruniera.

Encaissant un premier essai casquette, nos jeunes Tricolores se sont compliqué la tâche, subissant derrière la puissance des avants locaux pour en encaisser deux autres, avant de réagir par Depoortère qui envoyait Moustin à dame et d’obtenir un essai de pénalité pour finalement mener à la pause (17-20).

Le second acte est parti sur les mêmes bases avec un essai d’entrée des Italiens, par Mey (formé à l’ASM), avant d’attendre la réaction des Bleuets, par le pied de Desperes, reprenant le score d’un cheveu (22-23). Quand, à neuf minutes du terme, Castro (un Français) creusait l’écart de toute sa puissance, derrière un contre en touche. Mais la transformation manquée ne mettait pas les petits Coqs à l’abri d’un essai transformé L’essai surviendra quatre minutes après le temps réglementaire, mais pas la transformation.

Il faut croire que ce n’était pas le fort des Italiens, ce soir (1 sur 5), qui se consoleront avec les deux points de bonus.

 

Les autres matches : Pays de Galles (6) – Irlande (1)  (27-44) ; Angleterre (2) – Écosse (5)  (41-36).

(entre parenthèses, le rang du nouveau classement après ce week-end)

 

La 17ème journée de TOP 14  en bref…

Brive (13) – Perpignan (14)                   22 – 24

La lanterne rouge brille et se relance

Samedi après-midi, Perpignan a rebattu les cartes pour la lutte au maintien dans l’élite, en allant s’imposer avec courage et brio chez son concurrent direct corrézien.

Pourtant, les hommes de Collazo avaient ouvert les hostilités de la plus belle manière avec un essai de trois-quarts conclu par l’ailier Bituniyata. Mais les Catalans lui avaient aussitôt répondu par son demi de mêlée, Deghmache, flairant les espaces pour s’infiltrer et aller marquer tout seul, en filou (7-7).

Plus offensifs dans ce premier acte, les hommes de Marty multipliaient les occasions, manquées d’un rien, laissant les locaux dans le match quand Sanchez parvenait à répondre d’un drop à la pénalité de McIntyre. 10 partout à la pause, ce n’était pas cher payé devant la mainmise des visiteurs.

Au retour des vestiaires, les locaux profitaient du vent dans le dos pour prendre les devants, après trois pénalités de Sanchez (19-10), mais les Perpignanais n’avaient pas dit leur dernier mot. Et comment !

Sur une nouvelle attaque, après avoir investi le camp briviste, McIntyre (précieux) offrait une balle d’essai d’une magnifique transversale au pied à son ailier Crossdale, poussé illicitement dans le dos par Ferté, logiquement pénalisé d’un carton jaune et d’un essai de pénalité (19-17).

Sans autre conséquence pour Brive qui parvenait même, en infériorité numérique, à marquer un drop opportuniste par le jeune Carbonneau (oui oui, le fils de…). Mais le mot de la fin, et c’était logique, est revenu aux mains catalanes, et celles du puissant centre fidjien Sawailau qui a cassé plusieurs plaquages pour inscrire l’essai de l’égalisation, avant que Tedder ne donne la victoire par la transformation.

Quels enseignements de rugby, dans toutes ses valeurs – du jeu à l’engagement, en passant par le combat et l’abnégation, pour ne jamais rien lâcher pendant 80 minutes – nous a éclairés la lanterne rouge, revenue à hauteur de points de son principal rival et adversaire du jour.

Pau (12) – Racing 92 (5)                       38 – 19

Tout bonus

Après avoir été cueillis à froid par l’essai du Racingman Gibert sur un contre, les Palois ont réagi avec autorité, dans une première période à leurs mains, en force d’abord, par le pilier Gorgodze, puis plein de culot, par le centre Decron et enfin sur une attaque d’envergure, conclue par l’ailier Colombet, ne laissant que des miettes aux visiteurs, inscrivant un deuxième essai par Klemenczak, juste avant la pause (19-12).

En seconde mi-temps, c’est au tour des locaux de surprendre leur adversaire, sur un contre de Maddocks, de plus de 80 mètres, puis un autre de Laporte qui envoyait Gorgadze pour son doublé et la cinquième banderille, plantée dans l’en-but, synonyme de bonus offensif. Mais Tarrit, juste derrière, allait l’annihiler avant que Robson ne le reprenne en fin de match, avec toute la vista du demi de mêlée.

Mais quel match des Palois qu’on donnait perdant chez tous les bookmakers de l’hexagone. Cinq points qui les éloignent un peu plus de la zone rouge, à six longueurs désormais du duo relégable.

Clermont (10) – Castres (11)                 41 – 26

Un bonus comme la cerise sur le Yato

Samedi après-midi, les nouveaux hommes d’Urios, dans le dur, cherchant désespérément un renouveau, ont enfin trouvé leur messie, de retour après plus d’un an de convalescence, sur le banc la semaine dernière, à Lyon… Peceli Yato. Alléluia !

Parce qu’il fallait bien un miracle pour voir s’en sortir cette équipe auvergnate en manque de confiance, vendangeant les occasions et multipliant les fautes, comme Jésus les pains. Mais heureusement, en face, les Castrais n’étaient pas mieux lotis de ce côté-là, pins compris.

Il aura fallu deux cartons jaunes et un rouge pour ouvrir la voie aux Jaunards à un bonus offensif inespéré après avoir encaissé deux essais, un en début de chaque période (Arata et Raisuqe). Il aura fallu la bonne entrée de Baudou au talon pour concrétiser les mauls productifs recommandés par Urios, un retour aux fondamentaux payant (essai de pénalité puis de Baudou), en première mi-temps pour reprendre le score à Urdapilleta qui s’était régalé des fautes des locaux (17-16).

Il aura fallu surtout la détermination et la puissance d’un Yato, béni des dieux, pour renverser définitivement la partie, au-delà des espérances, en seconde période, aidés d’une supériorité numérique en fin de rencontre non négligeable.

Trois essais rageurs : en sortie de maul, classique ! Tout seul sur une pénalité jouée à la main, monstrueux ! En finisseur, sur une action du bout du bout pour le bonus offensif, grandiose !

C’est ce qu’on pourrait appeler se refaire la cerise sur le Yato…

Montpellier (8) – Toulon (9)                 18 – 20

Le champion piégé

Dans un match à faux rythme, les Montpelliérains se sont laissé endormir par des Varois sur la défensive malgré la puissance de feu de leurs trois-quarts. Une première période poussive de part et d’autre qui a logiquement accouché d’un essai de part et d’autre, par Paenga-Amosa pour le MHR puis Waisea pour le RCT, avec l’avantage de la transformation pour Paillaugue (8-10).

Même topo, dans un second acte aussi brouillon, un essai de trois-quarts et une pénalité partout (Bridge puis Wainiqolo) et toujours deux points d’écart à l’arrivée. Le champion n’a pas su se défaire du piège tendu par les Toulonnais.

La Rochelle (4) – Lyon (3)                    16 – 20

Nouvelle « déflandration » des Maritimes

Après Pau et Bordeaux, les Rochelais encaissent une nouvelle défaite à domicile, dans un stade Marcel-Deflandre désabusé. Les absences des internationaux n’expliquant pas tout.

C’est que les hommes de Garbajosa étaient particulièrement motivés après la désillusion du match aller à Gerland (21-23). D’entrée, ils ont cueillis à froid les homme d’O Gara, sans doute pas encore dans la partie, par un essai splendide de Doussain, avant de récidiver, une demi-heure plus tard, par Arnold, sur une action encore de jeu total, impulsé par le phénomène Tuisova.

Menés 6-15, à la pause, les Maritimes allaient enfin réagir au retour des vestiaires et de Skelton, après une longue séquence de charges au près, conclue par Sclavi (13-15), Hastoy donnant même l’avantage aux siens, quelques minutes plus tard, pour la première fois de la partie, par une nouvelle pénalité (16-15).

Mais c’est logiquement que Tuisova allait avoir le dernier mot dans une attaque dantesque qu’il allait parachever par toute sa vitesse, sa puissance et sa détermination, à l’image d’un Lou revanchard qui n’était pas venu ici pour beurrer des sandwiches mais bien croquer ces Rochelais en dedans.

Toulouse (1) – Bayonne (6)                  21 – 16

Un leader diminué mais pas mort

Toujours avec une équipe très remaniée, Toulouse a su dépasser une nouvelle fois ce match de doublon. Après avoir subi et rongé son frein pendant une heure, le banc de Mola a fait la différence avec l’essai de Meafou, plein de détermination.

Avant, les Basques avaient répondu avec beaucoup de combat et de jeu à l’essai de Willis par celui de Cassiem pour mener 10-8 à la pause, puis 16-11, grâce au pied de Lopez, avant de se faire rattraper par la puissance et le sang-froid des locaux, Mallia ne tremblant pas, pour suppléer au but, Ramos, Jaminet et Ntamack, tous appelés chez les Bleus.

Bayonne repart néanmoins avec un point en plus, bien mérité, qui le maintient dans le peloton des prétendants aux phases finales.

Stade Français (2) – Bordeaux (7)       12 – 6

Segonds 4 - Holmes 2

Paris est le seul vainqueur de ce piètre match de clôture de la 17ème journée.

Bordeaux a été privé du bonus défensif, en fin de match, quand le public a été privé de spectacle tout du long. Pas un seul essai à se mettre sous la dent, dans cette partie d'échec cadenassée.

(entre parenthèses, le rang du nouveau classement après ce week-end)

Tous les résultats officiels du week-end >> 

  

La semaine prochaine…

Du Bleu à Dublin…

Pour un match au sommet entre le deux meilleures nations actuelles, invaincues depuis leur dernière confrontation, remportée au Stade de France par nos Chelemars.

Au programme* de la 2ème journée du VI Nations, samedi 11 février :

         Irlande – France, à 15h15

         Écosse – Pays de Galles, à 17h45

Puis, dimanche 12 février :

         Angleterre – Italie, à 16h

 (*) Tous les matches sont retransmis par les chaînes de France TV

Les Bleuets joueront les Irlandais, le vendredi 10 février à 21h (diffusion L’Équipe TV).

 

Le TOP 14 fera une pause, avant de reprendre le week-end suivant.

 

Du côté du nouveau TOP 12 féminin

Retrouvez les résultats* et le calendrier sur >> site FFR : competitions-elite-1-feminine

(*) Faute de suivi médiatique en direct, je ne commente plus les résultats

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Commentaires
P
Tu as raison, on se demande si c'était vraiment le vrai Dupont qui était là ou une doublure bien fatiguée.<br /> <br /> On demande ce que nos joueurs ont fait pendant leur séjour dans les Landes. La suite du tournoi va vite nous éclairer.
Répondre
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