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L E S B R E V E S D O V A L I E . C O M - l'Hebdo du Rugby par Antonio -
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  • Revivez ici les grands moments du rugby à XV... avec les fameuses "Brèves d'Ovalie" d'Antonio ! Retrouvez tous les résultats du TOP 14 à la CHAMPIONS CUP, en passant par le Tournoi des VI Nations et la Coupe du monde, bien sûr !
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10 septembre 2023

Les brèves d'Ovalie - Edition n°535

La fin des clichés ?

MONDIAL... 1ère journée                            France – Nouvelle-Zélande    27 – 13

La bande à Dupont en course pour le titre

Une première à l’envers

Vendredi soir, le premier match de la Coupe du monde entre nos Bleus et les All-Blacks a semblé reprendre le thème de la cérémonie d’ouverture qui l’a précédé, comme si le scénario de la rencontre avait lui aussi été écrit par Jean Dujardin, avec plein de clichés sur le rugby pratiqué par les deux protagonistes.

Si l’acteur de The Artist nous a mimé sur le plateau du Stade de France toute la panoplie du « rétro » à la française, casquette à la Gavroche, baguette, vin rouge et Tour Eiffel, les artistes du XV de France, eux, se sont contentés de rester des spectateurs muets devant le haka, d’abord, puis le jeu des Néo-Zélandais durant toute la première période, jouant en décalé par rapport à leurs adversaires, un peu comme ce chœur d’une chorale de jeunes avec le public qui avait à cœur de frissonner autrement sur la Marseillaise.

Une entrée plutôt ratée, donc, illustrée par le premier essai des All-Blacks, dès la deuxième minute, sur une série de courses tranchantes, d’abord de Ioane puis de Telea réceptionnant une diagonale au pied parfaite de B. Barrett, enfumant une défense tricolore aux abois.

C’est facile, c’est du rugby néo-zélandais ! Premier cliché à abattre.

Quarante minutes à les regarder nous balader, à récupérer des miettes, sur des grattages maison de nos avants, comme celui de Marchand, à la quatrième minute, avant qu’il ne se blesse tout seul aux ischios, cinq minutes plus tard.

Et de cinq à l’infirmerie ! Une spécificité française, encore un cliché.

Ramos passait les premiers points quand son vis-à-vis venait de manquer la transformation en coin, puis en enquillait six autres sur deux mêlées fermée remportées par son pack, de quoi faire illusion, avec un point d’avance à la pause, alors que le ballon a été confisqué par les tuniques noires tout ce premier acte devant des Bleus sous pression, appliqués en défense, ne parvenant jamais à désinhiber un jeu sclérosé ne dépassant pas deux temps d’affilée.

En temps normal, les Néo-Zélandais auraient déjà enfoncé le clou pour rester devant à la pause et marquer les organismes de leurs adversaires autant que les esprits. Ils attendront le retour des vestiaires, promettant une leçon de rugby avec un bonus offensif logique au bout.

L’action du deuxième essai, dès les premières minutes, a été encore un modèle du genre du rugby All-Black. Sur un lancement de jeu derrière une touche, Mo’unga réalisait un petit coup de pied par-dessus parfait pour Jordan qui transperçait la défense française, le ballon revenant sur Ioane qui, d’une sautée phénoménale, mais surtout très en-avant, envoyait à dame l’incontournable Telea dont l’aile semblait encore désertée par un Penaud partout ailleurs… sauf là. L’essai sera validé, pas la transformation de Mo’unga, laissant nos Coqs en vie (9-13).

Seulement, là où autrefois nos Bleus se seraient faits dessus (souvenez-vous 2015), se laissant submerger par des vagues noires d’essais déferlant de toutes parts, ce XV de France-là a su se retrouver et se souder pour ne pas s’affoler et encore moins sombrer, grâce à cette confiance collective qu’ils se sont construite au fil des années, une carapace insubmersible qui les rend presque insolents de culot, dans des fulgurances imprévisibles.

Comme cet essai de Penaud, derrière un ballon porté, extrait par Dupont pour son ouvreur Jalibert qui a vu son ailier démarqué et parvient à lui glisser une passe au pied incroyable en même temps qu’il se fait plaquer, son néo partenaire de club s’en saisissant après avoir calculé le rebond et filer à l’anglaise, comme à son accoutumée, dans une course folle pour aplatir en coin dans un trou de souris.

Waouh ! On ne s’en lasse pas même si l’essai sera logiquement refusé pour un en-avant.

La machine Bleu était lancée et le cliché d’une marée noire annoncée balayé.

Dès l’action suivante, les avants tricolores puis Jalibert allaient faire la différence, l’ouvreur, en pleine confiance, se jouait d’un défenseur pour servir, cette fois, Penaud dans des conditions implacables pour l’essai de la libération.

Ramos fera le reste, la transformation puis deux nouvelles pénalités réussies (sur trois) récompensant le travail acharné des finisseurs, tandis que les Néo-Zélandais, réduits à quatorze, suite à un plaquage en l’air de Jordan sur Ramos, ne s’en relèveront pas.

22-13, en moins de vingt minutes, le match venait d’être renversé.

À cinq minutes d’une victoire historique qui leur tendait les bras, Ramos et Dupont cédaient alors leurs places respectives à Jaminet et Lucu, le temps pour les deux entrants de s’offrir un essai de prestige, conclu par l’arrière suppléant sur une chandelle du demi de mêlée bordelais.

Incroyable retournement de situation, sans jamais surclasser son adversaire, mais juste avec quelques fulgurances, le XV de France a fait tomber bien plus que les All-Blacks, dans leur première défaite en match de poule de coupe du monde.

Alors il serait temps, comme les acteurs du spectacle d’ouverture, dirigés par le scénariste Dujardin, de remballer tous nos clichés sur le « French-Flair sans mental » ou encore un « rugby néo-zélandais total », et de faire place nette sur les terrains, à cette nouvelle histoire que la bande à Dupont est en train d’écrire… non sans jeter un œil dans le rétro de cette finale volée en 2011.

La revanche, ce 28 octobre, pourrait être belle !

 

Les autres matches par poule, en bref…

Poule A

Italie  Namibie                    52-8

Laborieux leaders

Samedi après-midi, sous une chaleur accablante dans le chaudron de Geoffroy-Guichard, les Italiens ont mis du temps à maîtriser leurs adversaires namibiens, se contentant d’un petit 17-8, à la pause, grâce à deux essais (Cannone et Garbisi) et après avoir encaissé les trois premiers points de la partie et un essai (par Mouton).

Mais la seconde période sera à sens unique et le spectacle assuré par les coéquipiers de la pépite Capuozzo, repositionné à l’aile, Allan glissant à l’arrière pour laisser la place à l’ouverture à Garbisi.

Cinq nouveaux essais signés Lamb, Capuozzo, Faiva, Zuliani et Odogwu.

Une victoire bonifiée qui place mathématiquement la Squadra Azzurra de Kieran Crowley en tête de la poule, un leadership qu’elle compte bien conserver contre son prochain adversaire uruguayen.

Cl : 1-Italie (5 pts) ; 2-France (4) ; 3-Uruguay* (0) ; 4-Nouvelle-Zélande (0) ; 5-Namibie (0) 

 

Poule B

Irlande  Roumanie              82-8

Sans pitié !

Toujours samedi, à Bordeaux, les Roumains auraient peut-être dû s’abstenir de marquer le premier essai (par Rupanu), surprenant le XV du Trèfle qui n’a pas goûté cet affront et leur a fait payer cash, derrière.

12 essais, pleins d’autorité, ne laissant qu’une pénalité en miettes aux Chênes qui ont explosé en vol face à la furie et la puissance de la machine celte, grande favorite au titre mondial.

Doublés de Akhi, Sexton et O’Mahony, complétés des essais de Gibson-Park, Keenan, Beirne, Herring et McCarthy.

Afrique du Sud  Écosse       18-3

Du chardon à l'étouffée

Dimanche après-midi, au Stade Vélodrome de Marseille, les champions du monde ont trouvé la recette parfaite pour cuisiner les Écossais, une première période à feu doux, dans un jeu fermé qui n'a laissé aucun espace aux coéquipiers de Russel, muselés dans leur camp.

Menés 6-0, les Calédoniens ont bien eu une occasion de surprendre les Springboks, à la demi-heure de jeu, mais Graham se faisait coincer en bout de course, gâchant l'unique munition. Heureusement le buteur sud-africain n'était pas au mieux face aux perches, alors que Russel ramenait les siens à 6-3, à la pause.

Seulement, au retour des vestiaires, le XV du chardon a fini par exploser dans la cocotte phocéenne en ébullition sous le feu vif des sud-africains remontés comme jamais, emmenés par une charnière De Klerk-Libbok inspirée. En dix minutes, le demi de mêlée envoyait d'abord Du Toit à dame, quand le demi d'ouverture réalisait, trois minutes plus tard, une transversale splendide, à l'aveugle, pour servir Arendse qui n'avait plus qu'à terminer sa course dans l'en-but.

Les hommes de Townsend étaient cuits, concassés, prêt à être croqués, leur jeu réservé, à côté de la plaque, en mêlée, en touche et au bord des rucks, dominés par les champions du monde qui les auraient mangés tout cru si la bande à Russel ne s'était pas bien défendue, tenant bon mais finissant par capituler sur leurs dernières actions, trop maladroites et mal inspirées.

À croire que Russel manque chaque fois ses grands rendez-vous, pour donner raison à Lartot, de retour à ses clichés avec le Yach. Moi, je dis juste que ces Boks-là étaient monumentaux, un véritable rouleau-compresseur qui a enfermé le jeu écossais entre ses machoires effrayantes.

Vivement le choc entre Irlandais et les champions du monde. Je crains qu'ils nous concoctent ensemble un hachis parmentier avec une purée de rugby. Quant au XV du Chardon, il n'a pas dit son dernier mot contre l'Irlande.

J'y serai !

Cl : 1-Irlande (5 pts) ; 2-Afrique du Sud (4) ; 3- Tonga* (0) ; 4-Écosse (0) ; 5-Roumanie (0) 

 

Poule C

Australie  Géorgie               35-15

Ceinture et bretelles

Au Stade de France, samedi, les Wallabies ont assuré leur victoire bonifiée après avoir marqué d’entrée deux essais (Petaia et Nawaqanitawase). Ils n’ont pas lésiné à choisir les perches sur les pénalités afin de tenir à distance des adversaires coriaces mais peu inspirés. Ainsi leur buteur, Donaldson, aura été l’homme du match, particulièrement adroit dans l’exercice et décisif, en seconde période, avec un doublé pour un total personnel de 25 points.

Les Géorgiens ont manqué d’inspiration et d’efficacité sur leurs temps forts et auraient mérité mieux que deux essais (Ivanishvili et Gigashvili). De quoi nourrir quelques regrets même si la maîtrise était dans l’autre camp.

L’Australie pourrait avoir perdu McDermott, victime d’une grosse commotion, avant d’affronter Fidjiens et Gallois, en lice aussi pour les quarts.

Pays de Galles  Fidji            32-26

Le clou du spectacle

Pour le dernier match de ce premier week-end de la compétition, Gallois et Fidjiens nous ont à nouveau offert un fabuleux spectacle dans un scénario à couper le souffle, comme depuis cinq éditions qu'ils s'affrontent en poule pour notre plus grand plaisir.

La première fois, c'était déjà en France, en 2007, et les Flyings Fijians l'avaient emporté sur le fil, 38-34, dans une rencontre complètement folle. Depuis, les Diables Rouges ont eu à chaque fois le dernier mot, comme ce dimanche soir, encore, à Bordeaux.

D'entrée, les coéquipiers de Biggar ont pris l'ascendant sur leurs adversaires ailés, avec un premier essai d'Adams qui a donné le ton. Aussitôt, les plus français des Océaniens, quasi tous adoptés dans notre TOP 14, ont répliqué avec le Toulonnais Waisea, emballant alors le match, devenu complètement débridé, Tagitagivalu récidivant, à peine trois miutes plus tard (8-14).

Biggar sonnait alors la révolte, passant une deuxième pénalité et lançant North à la conquête de l'en-but "fridjien" (contraction Français et Fidjiens) pour le deuxième essai du XV du Poireau, menant 18-14, à la pause.

Mais la seconde période ne voudra pas sourire aux coéquipiers de Radradra, symbole de la malchance jusqu'au-boutiste qui semblait s'acharner contre eux. Contrairement aux Gallois, heureux des deux essais, par Rees-Zammit, sur une succession de coups de bol, puis par Dee, après un carton jaune bien plus rapidement donné à l'adversaire qui a longtemps fait le poireau devant la défense illicite des Diables Rouges, bénis par Monsieur Carley. Ah! l'arbitrage anglais !

Mais nos Fidjiens zélés n'avaient pas dit leur dernier mot, et dans une fin de partie irrespirable sont allés arracher deux essais incroyables, par Tuisova et Doge, avant que la balle de match, après la sirène, n'échappe des mains de l'icône du pays, Radradra, le néo-Lyonnais.

Terriblement injuste mais quel panache pour décrocher deux points de bonus (défensif et offensif), largement mérités pour les Fidjis qui ne sont pas encore morts dans cette poule qui se joue à trois, avec l'Australie.

Merci encore pour le spectacle !

Cl : 1-Australie (5 pts) ; 2-Pays de Galles (5) ; 3-Fidji (2) ; 4-Portugal* (0) ; 5-Géorgie (0) 

 

Poule D

Angleterre  Argentine         27-10

God save the XV (de la Rose)

Samedi soir, le XV de la Rose a fait taire toutes les critiques, dans un stade Vélodrome acquis à la cause des coéquipiers de George Ford, où les « Swing Low, Swing Chariot » ont rythmé les coups de pied magistraux du stratège anglais, en état de grâce (comme son homologue australien Donaldson).

Pourtant, tout semblait s’assombrir pour les hommes de Steve Borthwick, dès la troisième minute, quand Tom Curry écopait d’un carton jaune, devenu rouge dans la foulée, pour un plaquage dangereux. Sévère !

Mais il n’en fallait pas plus pour ces Anglais, vêtus d’une tunique bleue, pour se prendre pour des Frenchies jouant à la maison, alors que nos Bleus avaient joué la veille en blanc, habillé du pragmatisme britannique. Va comprendre, Charles !

Les néo-Frenchies se sont resserrés derrière leur défense intraitable et ont pu compter sur leur meneur de jeu, roi d’un soir, pour enquiller les points dès que l’occasion se présenterait. Et cela n’a pas manqué, tant les Argentins ont enchainé maladresses et fautes (plus de quinze !), surtout en seconde période.

Et quand le buteur tout puissant, en plus, claquait trois drops, coup sur coup, dans un premier acte plein de culot et de réussite, alors il n’y avait plus rien à faire pour ces Pumas maladroits et impuissants que de s’incliner devant tant de majesté et de grâce, nous rappelant un certain Sir Wilkinson.

Une leçon de réalisme et de sang-froid de l’homme du match, George Ford, ovationné à sa sortie, à cinq minutes du terme, alors que les Rosbifs menaient 27-3, laissant les Argentins sauver l’honneur sur le fil, avec le seul essai du match, par Bruni. Un moindre mal… mais qui semble profond.

Car il ne fait aucun doute que la bête blessée, samedi soir, était bien le Puma, sans argument et dompté par un seul homme malgré sa supériorité numérique.

L’Angleterre file tout droit vers sa première place quand l’Argentine devra valider la seconde qualificative face au Japon et surtout les coriaces Samoans.

Japon  Chili                        42-12

Et le Petit poussait... en vain

Pour sa première apparition dans une Coupe du monde, le Petit Poucet de la compétition a frappé les esprits, dimanche, à Toulouse, en semant le trouble dans les plans nippons et des graines d'un jeu prometteur. À l'instar du talonneur Escobar et du demi de mêlée Torrealba, fers de lance remuants, sur tous les ballons.

D'entrée, les Condors chiliens ont déployé leurs intentions offensives, inscrivant crânement le premier essai par leur ouvreur Fernandez Grosetete. Les Japonais ont aussitôt répondu par Fakatava, dans une domination territoriale logique. Il faudra pourtant attendre deux cartons jaunes successifs contre le Chili pour que les Cherry Blossoms profitent de leur supériorité numérique et marquent deux fois juste avant la pause, par Nakaibula puis de nouveau Fakatava pour son doublé (21-7).

Au retour des vestiaires, le match s'est retourné contre les Japonais, à la faute, devant la fougue du XV des Condors retrouvé et en supériorité numérique à son tour, le temps pour les frères Escobar d'attaquer et d'inscrire le deuxième essai sud-américain. Un sursaut de curte durée, Leitch trouvant la faille, cinq minutes plus tard pour les Nippons (28-12). 

La fin de match baissera d'intensité sous une chaleur étouffante et éprouvante pour les organismes, les Cherry Blossoms se contentant de gérer leur victoire bonifiée tout en respectant un adversaire courageux et volontaire mais limité techniquement et physiquement. Deux nouveaux essais japonais (Nakamura et Dearns) mettront définitvement fin aux espoirs chiliens et nourriront ceux d'un leader qui aura à défier les Anglais, la semaine prochaine, pour conserver sa première place et rêver d'un quart de finale.

Cl : 1-Japon (5 pts) ; 2-Angleterre (4) ; 3- Samoa* (0) ; 4-Argentine (0) ; 5-Chili (0) 

(*) en italique, la nation qui n’a pas encore joué

Récapitulatif de tous les matches par poule >> 

 

La semaine prochaine…

Pour une première face aux Téros !

Si les Uruguayens enchaînent leur cinquième coupe du monde, ce sera la première confrontation des Bleus face à cette nation sud-américaine montante dans la compétition (en dehors des deux tests en 1960 et 1985). Un piège facile à éviter pour un XV de France qui pourrait être remanié pour l’occasion.

À noter l’entrée de mes Petits Loups portugais face aux Gallois samedi.

Une seule rencontre proposera du suspense pour la qualification, dans le groupe C entre Australiens et Fidjiens. A ne pas rater dimanche !

Au programme* de la 2ème semaine du Mondialdès le jeudi 14 septembre :

    France – Uruguay (A), à 21h                      (Lille)

Puis, vendredi 15 septembre :

    Nouvelle-Zélande – Namibie (A), à 21h          (Toulouse)

Samedi 16 septembre :

    Samoa – Chili (D), à 15h                                 (Bordeaux)

    Pays de Galles – Portugal (C), à 17h45           (Nice)

    Irlande – Tonga (B), à 21h                              (Nantes)

Enfin, dimanche 17 septembre :

    Afrique du Sud – Roumanie (B), à 15h            (Bordeaux)

   Australie – Fidji (C), à 17h45                        (Saint-Etienne)

    Angleterre – Japon (D), à 21h                         (Nice)

 (*) Tous les matches sont retransmis par les chaînes de TF1, M6 ou France TV

 

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DB - COUV finale (Recto)

Une Coupe du monde mort de rire...

(cliquez sur l'image pour en savoir plus)

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