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L E S B R E V E S D O V A L I E . C O M - l'Hebdo du Rugby par Antonio -
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  • Revivez ici les grands moments du rugby à XV... avec les fameuses "Brèves d'Ovalie" d'Antonio ! Retrouvez tous les résultats du TOP 14 à la CHAMPIONS CUP, en passant par le Tournoi des VI Nations et la Coupe du monde, bien sûr !
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8 octobre 2023

Les brèves d'Ovalie - Edition n°539

La tournée du patron

MONDIAL... 4è journée                               France – Italie    60 – 7

Penaud, auteur d'un doublé, encore !

Allez, les poules ! on ferme.

Vendredi soir, le XV de France a assumé en patron, son dernier match de poule, dans une tournée offensive qui a régalé le public du Parc Olympique Lyonnais, plein comme un œuf, pour soutenir nos Coqs.

C’est que le patron de la poule A offrait sa tournée avant la fermeture, ce week-end, des journées qualificatives pour les quarts de finale.

Attention, lecteurs peu avertis, il ne s’agit pas de confondre, ici, la tournée du patron avec celle du Boss, plus longue et spectaculaire, vibrante et grandiose, mais qui, malheureusement, n’ira pas au bout de son terme, elle ! Bruce Springsteen ayant dû accepter la défaite avant les dernières échéances.

Ce que nous ne souhaitons évidemment pas à notre XV de France, bien parti pour nous épater, transcender jusqu’au bout des phases finales.


Je vous disais donc que nos Coqs nous ont offert une tournée offensive générale, dans l’antre lyonnais, face à une faible mais combattante équipe italienne, qui a bu le calice du French Flair jusqu’à la lie, comme face aux All-Blacks, une semaine avant.

Huit essais, pleins d’autorité et d’efficacité, contre un seul, en fin de rencontre.

N’en jetez plus, la coupe est pleine… on ferme !

Deux minutes de jeu, à peine, première incursion dans le camp italien et Penaud surgissait pour la première banderille, olé !

Dix minutes plus tard, ce même Penaud se prenait pour Jalibert, offrant un caviar de passe au pied à son nouveau partenaire de club béglais, Bielle-Biarrey, sur l’aile opposée, le petit Louis (vous vous souvenez ?) se défaisant de trois défenseurs pour le deuxième essai. Waouh !

Vingt-deuxième minute, c’était au tour de Jalibert, maître à jouer exceptionnel, ce soir, de combiner avec Penaud (encore !) jusqu’à Ramos, l’arrière toulousain concluant en coin un jeu de passes époustouflant, avant de transformer l’essai, comme tous ceux qui suivront dans un 100% rassurant.

Et que dire de ce doublé de Penaud, un quart d’heure plus tard, sur une passe au pied parfaite de Jalibert, plaqué, exactement le même que celui marqué contre la Nouvelle-Zélande, en match d’ouverture. Si ce n’est pas de la récitation d’automatismes, ça !

31-0 à la pause, le bonus offensif en poche, on en redemande !

Le second acte démarrera comme le premier, Jalibert bluffant tout seul la défense transalpine pour slalomer jusque dans l’en-but, pour un cinquième essai en solitaire.

Après quelques minutes de grosses frayeurs sur un temps fort de la Squadra Azzurra, le petit Louis donnait de l’air à la défense tricolore qui remontait le terrain avec une penaltouche à jouer, derrière laquelle débouchera un maul vainqueur conclu par Mauvaka.

L’entrée du banc, avec toute sa fraîcheur et son envie, offrira un doublé de Moefana, presque trop facile. D’apparence, car les hommes de Kieran Crowley ont bien plus défendu et contre-attaqué que face aux All-Blacks, dont le score a été plus conséquent.

Mais la manière et la force étaient les mêmes !

Zuliani sauvera l’honneur pour les Azzurri, trop rapidement privés de Capuozzo (sorti à la 31ème alors que son équipe avait déjà pris l’eau), une moindre récompense, mais méritée tout de même.

Une victoire loin d’être anecdotique qui a mis en lumière les automatismes de cette équipe type, même sans Dupont, prête à recevoir son adversaire, quel qu’il soit, en quart de finale.

Et ne vous étonnez pas si le patron repaye sa tournée d’entrée !


DB - COUV finale (Recto)

 

Une Coupe du monde mort de rire ! 

 

Cliquez sur l'image pour en savoir plus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les autres matches par poule, en bref…

Poule A

Nouvelle-Zélande  Uruguay     73-0

Le diesel néo-zélandais carbure

Il aura fallu vingt minutes aux All-Blacks, jeudi soir, à Lyon, pour lancer leur machine offensive à son meilleur rendement, un essai toutes les cinq minutes ou presque.

C’est que les Téros avaient mis une tout autre énergie pour enrayer le moteur du rugby néo-zélandais, annihilant deux essais, par une défense féroce, et à deux doigts d’inscrire le premier sur une panne défensive adverse, Ardao aplatissant en coin, malheureusement avec un pied en touche.

Vingt minutes de ronflement, en seconde vitesse, avant de retirer le starter et de passer la troisième, puis la quatrième et enfin la cinquième, lançant la rencontre sur des chapeaux de roue. On ne reverra plus les Uruguayens, à la traîne, au jeu évaporé dans un écran de fumée.

Onze essais ! Signés Mckenzie (doublé), Mo’unga, Jordan (doublé), Roigard, Newel, Fainga’anuku (triplé), et Williams.

La Nouvelle-Zélande accède aux quarts, deuxième, derrière la France, mais en en ayant gardé encore beaucoup sous la pédale pour les échéances à venir.

Cl : 1-France (18 pts) ; 2-Nouvelle-Zélande (15) ; 2-Italie (10) ; 4-Uruguay (5) ; 5-Namibie (0) 

 

Poule B

Irlande  Écosse                    36-14

Fenêtre sur court

Samedi soir, au Stade de France, le suspense entre Irlandais et Écossais, pour une place en quarts de finale, aura été de courte durée. Pas de quoi en faire un film hitchcockien, quoique !

De ma hauteur, en tribune, j’ai pu espionner le jeu douteux du XV du Trèfle, et je peux vous dire que je me suis senti comme James Stewart dans un fauteuil roulant, impuissant, mais plein de soupçons sur ces petits hommes verts en train d’exécuter froidement un adversaire, au jeu un peu trop ouvert et insouciant.

(Oui, j’étais à fond pour les Écossais !)

S’il n’y a rien à redire sur le premier essai, propre, tranchant, de Lowe, dès la deuxième minute de jeu, sur une belle relance de Ringrose, la suite a eu de quoi me laisser perplexe, un long moment.

D’abord, par cette insistance du XV du Chardon à ne pas vouloir prendre les pénalités sur les fautes celtes, et s’entêter en touche, en vain, alors qu’il n’y avait que 5 points d’écart (Sexton ayant manqué la transformation). Ensuite, par cette insistance du corps arbitral à ne jamais vouloir vérifier les pieds en touche des défenseurs irlandais sauvant des 50-22 menaçants (deux fois, je l’ai vu, j’étais à un mètre, à vol de Concorde). Sans parler des positions de hors-jeu suspectes, des plaquages à retardement, des retardements de sortie de ruck, et j’en passe… l’arrière Kinghorn, le facteur X écossais, sortant d’entrée sur commotion, en sera la première victime.

« Allo, la police, je crois que l’on est en train de commettre un meurtre, au Stade de France ! »

Forcément, au bout du fil, il y avait l’agent secret vidéo de World rugby s’interdisant bien de repasser la moindre image. Mes petits Calédoniens étaient en danger, il fallait envoyer quelqu’un sur place… Trop tard !

Au bout de vingt minutes d’agonie, Sexton entrait en scène (discret jusque-là), et distillait un jeu sur mesure pour ses hommes de main, Akhi et Ringrose se chargeant d’envoyant Keenan à dame.

De grâce, quel ignoble scénario était en train de se jouer ?

Méthodiquement, sournoisement, efficacement, sous le regard « clairement » complice de Nic Berry, le tueur au sifflet, le XV du Trèfle cueillait une à une les occasions d’essais pour les transformer en point de bonus offensif, par Henderson puis Keenan, pour son doublé.

26-0, à la pause, la messe était dite, toute prière inutile.

Le second acte sera (pour moi) d’un ennui mortel, à regarder la bande à Sexton s’amuser d’un adversaire à genou, sans réaction, subissant le faux rythme imposé par les Irlandais, aux commandes dans tous les secteurs du jeu.

Deux essais partout, dans un non-match, Ashman et Price parvenant à enflammer le public dans un sursaut, à « leurre de jeu », tandis que Sheehan et Ringrose ajoutaient deux nouvelles couches au malheur écossais.

Franchement, c’était tout sauf un bon film et quand j’ai quitté mon fauteuil, à la fin du match, j’avais la défaite amère, noire, comme ce stout irlandais que j’affectionne tant et qui m’a accompagné tout l’après-midi, avec un goût en travers la gorge et des pensées noires, comme Sexton flagellé, cul nul, samedi prochain avec une fougère blanche.

Mais ça va me passer… Ce quart de finale au Stade de France sera une tout autre paire de manches, et peut-être même une paire de claques qui ne serait pas pour me déplaire. Chut !

Tonga  Roumanie                45-24

Des chênes encore verts

L'automne n'est pas encore pour aujourd'hui et les Chênes l'ont prouvé, résistants aux salves tongiennes, telles des rafales de jeu incessants, et leur répondant avec vigueur à trois belles reprises, à deux doigts d'un bonus offensif mérité qui leur aurait donné un premier point dans cette coupe du monde.

Mais les les Ikale Tahi ont eu le dessus et le dernier mot, dans un dernier quart d'heure fatal, avec trois des sept essais.

Cl : 1-Irlande (19) ; 2-Afrique du Sud (15 pts) 3- Écosse (10) ; 4-Tonga (5) ; 4-Roumanie (0) 

 

Poule C

Pays de Galles  Géorgie      43-19

Une valse à trois temps

Déjà qualifiés, les Gallois n'avaient plus qu'à assurer leur première place de poule en disposant des modestes Lélos que l'on sait particulièrement combattants, au point de titiller les plus grosses nations, comme les Fidji, la seaine passée.

Le premier temps de cette valse, exécutée à Nantes, a été en faveur des hommes de Gatland, durant une demi-heure, le temps d'inscrire deux essais par Frncis et L. Williams, pour mener 17-0.

Le second temps a suivi, en fin de première période et jusqu'à l'heure de jeu, à l'avantage des Géorgiens remontés comme jamais, marquant les esprits et trois essais, par Sharikadze, Karkadze et Niniashvili, l'homme fort des Lélos, tandis que les Gallois avaient conclu leur troisième, d'entrée de seconde période, par l'incontournable Rees-Zammit, histoire de préserver une petite avance, 24-19.

Le dernier temps sera un festival de l'ailier gallois, réalisant un triplé, avec deux nouvelles banderilles pour laver l'affront de cet adversaire culotté. North en rajouera un sixième pour effacer les doutes.

Le Pays de Galles conserve donc sa première place et retrouvera l'Argentine ou le Japon en quarts de finale.

Fidji  Portugal                      23-24

Le beau jeu nouveau est arrivé !

Puta que pariu ! Putain de merde ! Qu'est-ce que c'est que ça ?

Un ovni s'est posé sur le Stadium de Toulouse, dimanche soir, en clôture de cette phase de qualification pour les quarts de finale. Je savais que les Portugais avaient mille recettes pour cuisiner la morue, mais pas presque autant pour faire valser un ballon de rugby.

Les Fidjiens étaient blancs comme leurs tuniques, à voir le cuir se jouer d'eux comme une savonnette sous la douche. Ce n'était pas du rugby conventionnel, plutôt un genre de rugby à 7 joué à quinze (une spécialité des deux équipes), à moins que ce n'était qu'une nouvelle version des "Jeux sans frontières"

(souvenez-vous, les vieux ! l'émission animée par Zitrone, Guy Lux et Simone)

Un nouveau jeu dont le but serait de ramener, de n'importe quelle façon, le ballon dans l'en-but adverse, sans qu'il ne touche jamais par terre, exit les pick and go, le jeu au ras, chers au rugby moderne irlando-anglo-saxon. Du jamais vu !

Ou du jamais bu ! Un peu comme le beaujolais nouveau, un soir de novembre. Ça rape un peu, ou plutôt, ça dérape souvent, comme sur une chaussée glissante, mais ça étonne toujours, avec un goût de banana-kick, d'offload ou de passe sautée improbable, d'accélération fulgurante, de cadrage débordement et la cerise sur le beau jeu, d'essai à l'arrivée.

Peut-être, pour certains spectateurs, médusés, ce n'est que du rouge qui fait tache sur le terrain, mais pour tous les supporters lusitaniens et les amoureux du rugby-spectacle, c'est un "beau jeu nouveau" qui fait du bien, qui égaye une soirée (pas comme celle de la veille, avec les Irlandais) et qui promet un bon cru à venir...

Car même dans le Beaujolais, il y a des crus qui valent la peine d'être connus !

Le match ? Une course-poursuite haletante, lancée par mes Petits Loups, dans un second acte complètement dingue, après un 3-3 d'une première période, loin d'être terne, même si les visages des Fidjiens commençaient déjà à pâlir devant une défense de fer infranchissable.

Un premier essai de la révélation de cette équipe (lire brèves précédentes), Storti (il ne restera pas longtemps à Béziers), bien servi par l'autre homme fort des Lobos, Bettencourt (qui joue à Oyonnax), sur un débordement fantastique qui a fait lever tout le stade.

La réaction fut immédiate des Fidjiens, pleins d'orgueil (et de talent du TOP 14, aussi), avec l'essai en force de Botia (10-10).

Trois minutes plus tard, un maul emmené par le valeureux talonneur, Tadjer, dont c'était le dernier match, offrira le second essai au pilier Fernandes, tout heureux d'aplatir le cuir.

Il faudra attendre un gros quart d'heure et un banc fidjien plus frais pour égaliser, grâce encore à des charges au près, dans un jeu minimaliste des Flying Fijians, à la réputation de grandes envolées au large, pour l'essai de Doge (17-17).

Et puis, la trouille au ventre, les hommes de Raiwalui s'en sont remis à la botte fiable de Lomani, enquillant deux pénalités pour assurer une courte victoire, voire un bonus défensif qui les qualifieraient quand même. (23-17).

Quand a surgi Storti, cuir en main, débordant les défenseurs sur son aile, dans une course incroyable, à l'image de ce match fou, et servait son compère sur l'autre aile, Marta, pour l'essai de la gagne... si seulement Marques passe la transformation.

Et le demi de mêlée de Béziers, passé par Pau, Toulouse et Brive, qui tirera sa révérence, à seulement 34 ans, s'exécutait parfaitement pour une victoire historique des Lobos en Coupe du monde (sans disqualifier les Fidjiens, la classe !). La première et elle n'a pas fini de faire du bruit. Bravo pour ce magnifique parcours (deux défaites dont ils n'ont pas à rougir, un nul prometteur et une victoire) qui les hisse au 13è rang mondial.

Quel exploit, mes petits Loups... Puta que pariu !

Cl : 1-Pays de Galles (19 pts) ; 2-Fidji (11) ; 3-Australie (11) ; 4-Portugal (6) ; 5-Géorgie (3) 

 

Poule D

Angleterre  Samoa              18-17

L'impotent, c'est la Rose !

Les Anglais n'avaient rien à jouer, ce samedi après-midi, à Lille, déjà assurés de leur première place de poule. Et ça s'est vu, tellement ils n'ont rien montré, ou si peu, face à des Samoans qui, eux, en ont profité pour sortir de leur rang et effrayer les Rosbifs.

C'est que les coéquipiers de Farrell se sont contentés du minimum syndical, après l'essai précoce de Chessum, même pas transformé par la starlette des Sarries. 5-0, puis 8-0 au bout de vingt minutes, le jeu du XV de la Rose semblait privé de mouvement, laissant les Manu Samoa cueillir sa défense et la piquer au vif sur un essai somptueux de Ah Wong qui récidivait, cinq minutes plus tard, pour donner l'avantage aux siens, à la pause (8-14). Et l'addition aurait pu encore être plus salée !

il faudra attendre l'entrée de Care, dans le dernier quart d'heure, pour voir la Rose redresser un peu la tête et inscrire l'essai de la gagne par le demi de mêlée des Harlequins, au four et au moulin.

Une prestation à oublier pur les hommes de Borthwick qui risque de se faire des cheveux blancs pour trouver quinze bonhommes moins impotents pour affronter une autre équipe océanienne vigoureuse en quart de finale.

Japon  Argentine                 27-39

Viva Carreras !

Dimanche, à l'heure du déjeuner, les Brave Blossoms n'ont pas réussi à ce sortir des griffes des Pumas, et notamment d'un en particulier, l'ailier de Newcastle, auteur d'un triplé décisif qui a avalé tout rond les derniers espoirs nippons, dans une course-poursuite haletante, jusqu'au bout du suspense.

Dans le stade de La Beaujoire, à Nantes, Mateo Carreras a systématiquement douché les recollages au score des Japonais, étonnants de ressources et d'adresse pour tromper la défense argentine, par trois fois. D'abord, Fakatava, l'imposant seconde ligne bluffait son monde pour déborder la défense adverse, avec un petit par-dessus au pied pour lui-même, comme un ailier, quelques minutes après le premier essai de Chocobares.

Ensuite, c'était au tour du demi de mêlée Saito de feinter une passe pour aller seul à l'essai et ramener son équipe à un point, juste avant la pause (14-15).

Enfin, après l'heure de jeu, c'était Naikabula, l'ailier suppléant de Matsushima, qui concrétisait un long temps fort des Nippons pour recoller à deux points (27-29), avant que la foudre Carreras ne s'abatte une troisième fois sur eux, grillant définitivement leurs derniers espoirs, Sanchez parachevant l'œuvre de l'artiste en signant une ultime pénalité.

L'Argentine jouera bien son quart de finale face aux Pays de Galles, avec une réelle chance de revoir les demies, comme déjà en France en 2007.

Cl : 1-Angleterre (18 pts) ; 2-Argentine (14) ; 2-Japon (9) ; 4- Samoa (7) ; 5-Chili (0) 

Récapitulatif de tous les matches par poule >> 

 

La semaine prochaine…

Place aux véritables finales !

Ne nous y trompons pas, les vainqueurs des deux quarts entre les poules A et B auront de grandes chances de se retrouver en finale, le 28 octobre prochain.

Au programme des quarts de finale du Mondialdès le samedi 14 octobre :

    Pays de Galles – Argentine, à 17h         (Marseille, TF1)

    Irlande – Nouvelle-Zélande, à 21h        (Stade de France, TF1)

Puis, dimanche 15 octobre :

    Angleterre – Fidji, à 17h                       (Marseille, M6)

    France – Afrique du Sud, à 21h           (Stade de France, TF1)

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Commentaires
P
Merci pour ces bons article.<br /> <br /> Méfiance, c'était trop facile pour le 15 de France, la suite n'est pas gagnée d'avance, loin de là.
Répondre
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